J’ai enfin pris le temps de voir Slumdog Millionnaire.
Et, autant vous le dire tout de suite je n’ai pas été déçu.
Un film de Danny Boyle, le réalisateur de Trainspotting et Sunshine ça ne laisse jamais indifférent.
Mais cette fois c’est très particulier.
Le film fait énormément parler de lui, se fait saluer par la critique, applaudir dans les blogs et acclamer aux remises de prix.
Tout au plus entend on s’élever la voix discordante de certaines associations indiennes qui n’apprécient pas l’image très brutale de leur pays qui est véhiculée par le film.
Slumdog Millionnaire c’est donc l’histoire de Jamal Malik, 18 ans, orphelin né dans le bidonville le Mumbai, sur le point de remporter la somme de 20 millions de roupies à l’émission Qui veut gagner des millions ? La chose est si extraordinaire que les organisateurs du hjeu comme les autorités ne tardent pas à le soupçonner de tricherie. A l’occasion d’un interrogatoire « musclé », Jamal Malik raconte sa vie, son frère, Malika celle qu’il aime éperdument et aussi cette vérité toute simple : s’il a si bien réussi lors de l’émission c’est qu’il connaissait les réponses.
Face aux tonnerre de louanges que reçoit ce film j’aimerais être capable d’originalité.
Mais à la vérité je peine à trouver un bien grand défaut à ce film.
De l’écriture au montage, de la direction d’acteur à la bande son je peine à reprocher quoi ce soit à Slumdog Millionnaire.
Il s’agit tout simplement de l’un des plus beaux films qu’il m’ait été donné de voir ces dernières années.
Et pourtant j’en vois quelques uns.