Ciné

Eldorado manqué

 
Voila… Hier soir j’avais prévu d’aller voir « Eldorado » le dernier film de Bouli Lanners au sujet duquel j’avais entendu énbormément de bien.
Malheureusement la dernière séance dans ma ville était hier soir… et un impondérable m’a malheureusement empêche d’y assister.  

 Alors une fois n’est pas coutume je vais me référer à la page du film chez Première pour vous résumer de quoi ça parle : 

« Un dealer de voitures vintages surprend un jeune cambrioleur. Au lieu de lui donner une bonne correction, il traverse le pays pour le ramener chez ses parents. Une épopée tragi-comique à travers la Belgique filmée magnifiquement ».

Que vous dire d’autre…
sinon qu’il ne me reste guère qu’à attendre la sortie en DVD et que si quelques-uns d’entre vous qui auraient vu le film pouvaient me laisser leur avis dans les commentaires ça me ferait bien plaisir.

Snif… en attendant je me console avec la Bande Annonce.

Ciné

Hancock (séance de ratrappage)

Je crois qu’à peu près l’ensemble du reste du monde a déjà vu Hancock, le dernier Will Smith, au moment où j’écris ces lignes.

Dans l’hypothèse contraire voici en quelques mots de quoi vous faire une idée :

La trame : 
Hancock  est l’anti superman. Fort et rapide il vole et aide les gens mais n’en mène pas moins une vie de marginal. Négligé, alcoolique, grossier et désagréable il est détesté et fait otu pour que sa dure. Chacune de ses interventions se solde par tant de dégâts que le bien qui en résulte est aussi vite oublié. 
La grogne monte au point que les autorités envisagent de faire arrêter le trublion. 
La situation a tout pour mal dégénrer jusqu’à ce qu’Hancock sauve la vie de Ray un conseiller en relations publique idéaliste qui pour le remercier décide de redorer son blason.

Will Smith est un habitué de ces fiilms du mois qu’étaient déja les Men in Black et Wild Wild West. 
Il s’agit assurément de pur divertissement, un film « pop corn » dont le seul objectif est de vider la tête du spectateur. On ne s’étonne pas dès lors de trouver dans le film de nombreux gags en dessouys de la ceinture qui ne feront vraiment pas, mais alors vraiment pas rire votre grand mère. 
Cette réserve écartée il faut cependant avouer qu’en fait de détente Hancock est plutôt une réussite. 
Le trio d’acteurs formé par Will Smith, jason Bateman et Charlize Théron est franchement attachant et mis au service d’une hsitoire prévisible mais dynamique et plutot bien pensée. 
Croyez moi sur parole, (si vous n’emmenez pas votre grand mère) vous passerez un sympathique moment. 
A voir entre potes un samedi soir…

Ciné

L’empreinte de l’ange : melo, melo….

« L’empreinte de l’ange » est le dernier film de Safy Nebbou qui s’était fait remarquer en 2004 avec « Le Cou de la Girafe » et prépare en ce moment « Signé Dumas » avec à l’affiche Gérard Depardieu et Benoit Poelvoorde.
La trame :  
Elsa Valentin est fraichement divorcée. On la dit dépressive.  Elle vit chez ses parents faute de mieux en compagnie de son fils Valentin. 
Alors qu’elle vient chercher celui-ci, invité à un gouter d’anniversaire chez la famille Vigneaux, elle  rencontre Lola leur petite fille de six ans. 
 Dès cette instant, une seule idée l’obsède ; Lola est l’enfant qu’elle a perdu six ans plus tôt lors d’un incendie. Par tous les moyens Elsa va chercher à s’immiscer dans la vie de la famille Vigneaux prête à tout pour confirmer ce qu’elle ressent  au plus profond d’elle. 

Dès les premières minutes du film une vérité cynique s’est imposée à moi ; je ne suis pas le public ciblé par ce film.
Lent, filmé avec un classicisme maitrisé, doté de surcroit d’un scénario linéaire mais cependant efficace, l’empreinte de l’ange est sans doute possible un mélodrame assumé.
Il est au surplus servi par deux actrices émouvantes (Catherine Frot et Sandrine Bonnaire) dont le jeu subtil et efficace a fait maintes fois ses preuves. 
Lent à l’extrême et par trop prévisible me film peine cependant à convaincre à trop vouloir miser sur l’émotion. 
Voila un film qui fera probablement pleurer beaucoup de jeunes mamans mais laissera toutefois les autres sur leur faim. 
Dommage.