Le week-end me sembla n’être qu’un long tunnel dont la sortie fut le retour de Sophie. Puisque je pressentais que ce retour s’accompagnerait d’une catastrophe, je dois avouer que je le redoutais presque autant que je l’espérais. La forte tension nerveuse que j’éprouvais ne me laissait guère en état de travailler.