Ouf. Je viens de finir l’écriture d’une nouvelle et je ne résiste pas à l’envie de la partager avec vous.
Il faut dire que je me suis sacrément amusé à l’étire, et avant cela à l’imaginer.
Je me souviens précisément à quel moment l’idée de cette histoire à commencé à germer. C’était il y a plusieurs mois, sur le site de Moeity.
Ceux d’entre vous qui ont cliqué sur le lien ne reviendront probablement pas lire la suite de cet article.
On peut se perdre à explorer les moindres détails de cette image… C’est en tous cas ce qui m’est arrivé. Après avoir fermé mon navigateur, bien plus tard, j’ai eu envie d’écrire une histoire pour peupler cette image. Et immédiatement renoncé à cette idée. Je n’aime pas me mêler des univers des autres et je n’aimerais pas qu’on viennent mettre les pieds dans l’un des miens.
Mais les idées sont comme les graines ; une fois semées, elles ont tendance à pousser même lorsqu’on refuse de s’en occuper.
Quelques semaines plus tard je rêvais avec une amie d’un projet commun de roman. L’idée était d’exploiter les souvenirs d’un membre de sa famille qui avait été photographe dans une maison close mâtinés d’une histoire de vendetta qui me trottait dans la tête.
Nous en parlions, et je ne pouvais m’empêcher d’imaginer chaque scène dans une cité souterraine.
Le projet de roman n’a pas eu de suite, et je suis resté avec mes idées et ma cité souterraine.
Alors, j’ai téléchargé scrivener, un logiciel qui a ses défauts (et un prix) mais qui sait faire gagner un temps fou lors de la rédaction d’un texte de taille conséquente, et je me suis lancé dans la rédaction de la nouvelle qui suit.
Le premier chapitre est après la césure.
La suite est en téléchargement (en pdf) à la fin de l’article.
J’espère que ça vous plaira 😉