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et hop, mettez le son, Microblogging

[enfin !] Deux inédits de noir désir

Je n’ai pas pour habitude de relayer les scoops mais là c’est tout chaud, c’était très attendu (et puis ca risque de faire polémique très rapidement). 


Donc voilà noir désir a mis aujourd’hui en ligne deux inédits à télécharger gratuitement par là.
 
La seconde bonne nouvelle c’est que le groupe s’est bel et bien mis au travail et qu’un nouvel album devrait suivre très bientôt. 
 Pour être très franc avec vous je n’ai pas encore eu le temps Gagants perdants et Le temps des cerises mais je vais m’empresser de le faire.
 Si vous voulez qu’on en parle ce sera donc dans les commentaires…
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lancement de Kestufé

En passant chez Franck de chez Caledosphère qui me lit à l’occasion je viens de découvrir que ce lui-ci a lancé aujourd’hui un site dénommé « Kestufé » un site qui permet de « dire au monde ce que ce vous etes en train de faire en ce moment ».
Les utilisateurs de Twitter l’ont d’orers et déja compris, c’est au lancement d’un site à vocation identique que nous assitons là.

Puisque je trouve l’initiative courageuse j’ai pris un instant pour en dire quelques mots, je n’ai cependant pas eu le temps de tester le service.

Si vous avez déjà un avis, n’hésitez pas à le laisser dans les commentaires.

Sinon allez y faire un tour pour vous faire votre idée. (par ici)

et hop, Microblogging

Recherche athlète desespérément

 
Je viens de voir ça à l’instant sur le blog 20minutes.fr consacré aux J.O. de Pékin (par là). Cette affiche a été publiée dans le New York Times de cette semaine à l’initiative de l’association des tibétains en exil pour la somme rondellette de 51.000 euros. 
Ce midi le patron du snack où j’ai été acheter mon sandwich me demandait pour quelle raison le gouvernement chinois censure Internet. 
 Et bien maintenant j’ai une réponse plus jolie que le bête « la chine est une dictature » que je lui ai servi ce midi. 
Demain je pourrai ajouter « si la chine censure internet c’est pour forcer les tibétains à se payer des affiches hors de prix dans des journaux qui parraissent à l’autre bout du globe ».
Vivement demain !