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Moi, moi et moi…

J’ai été taggué par Défaite qui me revoie cette petite chaine toute simple.
Je prends quelques instants pour y répondre au beau milieu d’une journée d’apocalypse…
Il s’agit de répondre à quelques questions.

Lisez plutôt :

1. A quel personnage public on vous dit que vous ressemblez ?
Forcément avec ma coupe de cheveux (je suis chauve) ça tourne toujours autour des mêmes : Bruce Willis ou Fabien Barthès.
Et vu qu’en fait ces deux là ne se ressemblent pas du tout, à force je commence à me dire que je ne ressemble à rien.

2. Vous le prenez comment ?
Comment je le prends ? Mais très bien là plupart du temps.
Surtout quand de jolies demoiselles se pressent pour embrasser mon crane luisant.

3. Vous savez que vous ne ressemblez à personne mais, dans vos rêves, à qui auriez-vous aimé ressembler ?
Non, d’abord je n’ai pas dit que je ne ressemblais à personne ; j’ai dit que je ne ressemblais à rien… faut suivre un peu !
Quoique en toute modestie je me dis parfois que ça à du être pas mal d’être Hemingway.
Mais de toutes façons j’ai déjà beaucoup de mal à être moi-même…

Alors il vaut mieux que je fasse passer cette chaine à PinkbOnO et puis Lou aussi, car je sais qu’ils arriveront à rendre amusantes leurs réponses ces questions certes pas très originales.

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Ma tete dans un nuage

Lou m’a encore refilé une chaine.

Vous qui fuyez ces futilités de blogueurs ne partez pas ; celle là n’est pas banale.

Le sujet du jour ce sont les « Tags Clouds » ou « nuages de tags » expression un peu barbare pour décrire le joyeux désordre sémantique dont vous pouvez trouver un exemple dans ma barre latérale.

Le concept de la chaine c’est cette fois de générer un nuage de tags via le site « Wordle » puis de voir ce qui en sort.

En pratique c’est à la fois amusant et surprenant.  Du coup je vous laisse dès à présent regarder le résultat : 

généré par Wordle 

Ce que j’aime particulièrement avec celui-ci c’est qu’avec son enchainement « plus, peu, bien, trop » il fait un peu panneau publicitaire.

Ce qui est bien aussi ce que j’ai pu du même coup me rappeler vous avoir parlé il y a quelques temps d’une définition « austère » au détour d’un billet qui parlait de zombie.

Je me suis souvenu vous avoir donné une idée sympa pour dépenser ces 51.000 euros que vous n’avez pas.

J’ai souri aussi en me rappelant cette postière qui m’avait conseillé « de revenir demain« . 

Et une fois encore, après avoir relu tout ça je me sens plutot bien.

Et puisque ça m’a franchement amusé j’ai réalisé un second nuage qui vous pouvez aussi zieuter par là, il vous rappellera notamment toutes ces horreurs que j’ai pu dire sur le gouvernement.

Et puis après, prenez un instant pour réaliser la votre.

D’ailleurs ça me ferait bien rire de voir le nuage de Defaite et Geoffrey.

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Ma vie sans internet ?

Ça devait arriver, à force de balancer des chaînes à Geoffrey il fallait bien qu’il se venge m’en envoie une lui aussi.
Le thème du jour c’est « ma vie sans internet » en cinq réponses.

Ma vie sans internet… il a de ces questions Geoffrey… qu’est ce que j’en sais moi d’abord?
Est-ce que c’est possible d’ailleurs de vivre sans internet?

A bien y réfléchir ma vie sans internet ça ressemblerait probablement plus ou moins à ça.

  • Je travaillerais moins vite et moins bien : En fait sans internet j’aurai besoin d’une base documentaire beaucoup plus importante (très coûteuse et pas forcément à jour) dans laquelle je passerai des heures à chercher. Au lieu de cela, des sites tels que Legifrance permettent d’accéder à la quasi totalité du droit « positif » (i.e. en vigueur) en quelques clics pour pas un rond. (je suis juriste) Comme le disait un ancien prof de droit des sociétés « c’est à se demander comment on a pu faire du droit sans internet ».
  • J’aurais besoin de huit étagères de plus : On dit ce qu’on veut mais internet il n’y a rien de tel pour changer sa manière consommer. Alors voila je le dis (Pascal Nègre si tu m’entends) s’il n’y avait pas internet j’achèterais plein, plein de CD !! (puisque je vous dis que c’est Dieu lui-même qui a inventé Deezer !)
  • J’aurais une sacrée note de téléphone : Quand je repense au nombre de bêtises que j’ai pu envoyer par SMS là où je me contente désormais d’un simple mail ça me fait presque froid dans le dos
  • J’aurai fini mon roman : Ça c’est le détail dont je ne suis pas fier, mais alors pas fier du tout… Ça va faire près de cinq mois que l’histoire que je suis en train d’écrire est au point mort. De tous façons il va falloir que je m’y remette. Faute de quoi je risque de ne plus rien avoir d’intéressant à publier sur Lire-Feufol
  • Je ne serais pas en train de vous écrire : Et ça avouez que ce serait dommage non ?

Et vous ? Elle ressemblerait à quoi votre vie sur internet ? (Je transmets la chaîne à PinkbOnO JulG7 et Pingoo.) Faites moi rire !