En ce moment, je passe une partie non négligeable de mon temps disponible à rattraper le retard que j’ai accumulé coté cinéma.
Ce n’est qu’aujourd’hui donc, que j’ai finalement pu aller voir « Juno », film sur lequel tout a déjà été dit ou presque…
Google m’en est témoin, toute la presse a déjà salué la réalisation subtile et intelligente de Jason Reitman.
Nombre d’articles ont également été écrits au sujet de la prestation stupéfiante d’Ellen Page, déjà aperçue dans « X-men l’affrontement final », qui bien qu’âgée de 21 ans (elle est née en 1987) campe une adolescente de 16 ans avec une fraicheur que je ne saurais assez bien décrire.
On a moins parlé cependant de Jennifer Garner très en forme dans son rôle, ou de la bande originale très très soignée.
Puisqu’il ne me reste plus grand’chose à dire, il me semble que le plus simple reste encore de vous laisser regarder la bande annonce… puis aller au cinéma si vous ne l’avez pas encore vu.

Le casting tout d’abord est particulièrement réjouissant. La confrontation entre Elijah wood (le seigneur des anneaux, eternal sunchine of the spotless mind…) et John Hurt (que l’on retrouvera bientôt à l’affiche d’Indiana Jones et le royaume du crane de cristal) deux acteurs au jeu à la fois subtil et à fleur de peau ne laissera personne indifférent.
La véritable force du film cependant réside dans son intrigue particulièrement bien pensée, sorte de cluedo mathématique, mais à ce sujet bien sûr je ne vous dirai rien de plus pour ne pas vous gâcher le plaisir.

Pour l’anecdote, le film est l’adaptation du roman « mathématique » publié en 2003 par l’argentin Guillermo Martinez. (Que je n’ai pas encore lu…)